Un enfant adopté parvient-il vraiment à être heureux ?
Résolu- Mon fils adoptif ne m'aime pas
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32 réponses
abandonné .
Cette vérité on me l'a dit quand j'avais 7 ans à cet époque je ne savais pas comment réagir alors j'ai commencé à pleurer avec mes parents .
Pendant ce temps j'étais heureuse oui mais ce temps est révolu
Maintenant que j'ai vais avoir 15 ans je me sens plus moi même je fait des crises .
Je ne dit que des horreurs , je sens un grand vide dans mon coeur ils ne m'auraient pas du adopter pourquoi ils ne ce sont pas contenter du fils qu'ils avaient .
La raison et qu'ils voulaient une fille .
Maintenant je dois repartir la où on m'a retrouvé dans la misère .
Je savais bien qu'ils étaient pas assez fort .
Je suis aussi une enfant adoptée je n'avais seulement que quelques mois lors de l'adoption.
D'après mon dossier, j'ai été abandonnée par ma famille car nous étions trop et mes parents biologiques ne pouvaient m'élever.
Mes parents adoptifs (qui sont pour moi mes seuls et uniques parents) avaient déjà adopté une autre fille avant moi et quelques années plus tard ont souhaité en adopter une troisième.
Mon enfance a été relativement difficile non pas à cause de cette adoption mais à cause de la méchanceté gratuite de mes soeurs.
Pour parler franchement, j'ai des parents les meilleurs du monde et je leur suis tellement reconnaissante de m'avoir adoptée même si plus jeune ils étaient rarement à la maison à cause de leur emploi mais ils trouvaient toujours une solution pour que l'un ou l'autre soit avec nous à chaque fois.
Je n'ai jamais ressenti une différence étant plus jeune pourtant mes parents adoptifs sont blanc et je suis métissée. De l'amour, des moments exceptionnels malgré les difficultés rencontrer avec mes "soeurs".
Aujourd'hui, je vais sur mes 24 ans, après le divorce de mes parents adoptifs je me sens relativement bien. Bien sur je me pose des petites questions sur le fait de la ressemblance, de savoir au niveau de mes frères et soeurs biologiques.
Cependant je pense en effet que l'adoption provoque une cassure au fond de soi mais que l'amour que peuvent donner les parents adoptifs aide à se construire et à avancer. Je ne dis pas que la vie est belle tout les jours mais je me rends vraiment compte de la chance que j'ai.
De plus, d'ici quelques années j'ai l'intention de repartir dans mon pays avec mes parents adoptifs afin de découvrir l'univers dans lequel j'aurais vécus si ils ne m'avaient pas adopté.
J'aurais voulu de plus par le biais de ce site savoir si il y avait des personnes comme moi qui ont rencontré des difficultés avec des frères et soeurs eux aussi adoptés pour pouvoir en discuter et connaitre leur ressenti.
En tout cas, l'adoption est une chance exceptionnelle pour les enfants comme nous dont l'avenir était totalement incertain, c'est une épreuve difficile mais il suffit de beaucoup d'amour et de patience pour pouvoir nous aider dans cette compréhension et dans notre parcours.
13 janv. 2015 à 16:28
J'ai été adoptée et je peux te confirmer : je suis très heureuse.
Mes parents ne savaient pas avoir d'enfant et ont pris le choix d'adopter un enfant, je suis arrivée en Belgique à 3 mois et demi.
J'ai été mise au courant très tôt et, vu la différence physique très nette (je suis née en Amérique latine) entre eux et moi, il était préférable, que pour cette raison là aussi, je sois mise au courant très jeune.
C'est vrai qu'à l'adolescence, j'ai souffert "de ne ressembler à personne" et j'ai longtemps refusé de ressembler, d'après ce que mon petit-ami disait à mes 18 ans, à la dame sur la photo de mes papiers, qui est ma mère biologique.
Puis, ma maman est tombée dans le coma en 2006 et j'ai eu un déclic... mon adoption a été acceptée à 100 % dans ma tête et je vis parfaitement bien avec ça.
Je suis une enfant heureuse.
Mes parents, c'est sacré pour moi. et je sais que je suis chère pour eux aussi, un enfant quoi ;)
Ma maman est décédée depuis 1 an et demi et je n'avais que 28 ans... c'est ça le plus horrible événement dans m vie en fait.
Parce que mon adoption, c'était la plus belle, que mes parents m'aient offert une seconde chance, alors que je n'avais rien demandé, et qu'ils m'aient rendue heureuse toute ma vie.
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Posez votre question6 avril 2015 à 18:03
J'ai 23 ans et j'ai été également adopté tout comme mon frère. En ce qui concerne mon cas, je pense que m'on adoption est un échec, bien que cela de ne se voit pas de l'extérieur. En fait je n'ai jamais accepté mon adoption bien que je suis arrivé du Burkina j'avais 2 ans. Seul noir dans la famille, j'ai grandit avec un problème d'identification. En effet pour beaucoup d'entre nous, le début de notre vie est une page blanche et qui pour certain restera à jamais blanche. Et on doit se construire sur une page blanche, avec pour seul info, que l'on été abandonné. Pour ma part on m'a trouvé au bord d'une route.
Actuellement,j'ai une relation difficile avec ma mère adoptive (manque de communication, mère intrusive, je refuse que l'on me touche et elle ne comprend pas), relation conflictuelle avec mon frère quand à mon père il est effacé dans ce sac de noeufs et cela fait 21 ans que ça dure.
Je n'arrive pas également à m'identifier à mes parents, car je ne leur ressemble pas, n'y à mon frère, c'est pourquoi il y a peu de complicité entre nous.
J'ai également des problèmes médicaux:
- Une hépatite B par ma mère biologique, ce qui engendre une vie amoureuse difficile car les gens la confonde avec le VIH.
- Dysorthographie syntaxique diagnostiqué cette année seulement, provoquant des troubles d l'apprentissage de l'orthographe et de l'apprentissage tout cours --> je suis régulièrement passé par une incapable, faignante, etc tout au long de ma scolarité. Ce qui m'empêche pas d'être en master.
De plus les gens pointe constamment ma différence avec ma famille d'adoption. ( mon frère colombien, qui est balzamé n'a pas ce problème). A l'intérieur je suis européenne, mais les gens me fond comprendre qu'à l'exterrieur non et pas toujours de manière subtile. quand au africain, il m'est difficile de communiquer avec eu car je plus m'a culture d'origine, et pour eux c'est une tare.
De plus adopté dans une société, où il n'est pas bon d'être de couleur, les médias, l'école, les gens, consciemment ou inconsciemment peu importe, vous font comprendre que vous n'êtes pas à votre place. Je vois actuellement un psychologue pour m'aider, mais pour le moment cela n'a pas f'effet. Je continue de me demander pourquoi mes parents on adopté une fille noire, sachant pertinemment qu'on pointerait sa différence, que tout les jours elle devra relever ce défit et se battre plus que les autres car c'est une femme et qu'elle est noir.
Alors si j'ai un conseillé avant de jubiler, car vous aller enfin pouvoir adopter un enfant, réfléchissez bien à l'environnement social dans lequel il/elle va grandir, car vos décisions seront lourdent de conséquences.
Modifié par LoulouGld le 20/09/2015 à 22:29
26 sept. 2015 à 20:15
En ce qui me concerne, je suis très instable émotionnellement. Je suis hypersensible et pourtant souvent j'éprouve un sentiment de vide, d'absurdité. Ma plus grande peur est bien sûr d'être abandonnée. J'ai 19 ans. Pendant mon adolescence, mes comportements étaient très similaires à ceux du trouble de la personnalité borderline et heureusement, je vais mieux aujourd'hui.
Si vous êtes adoptés comme moi, je vous invite à laisser votre témoignage sur mon site (créé hier) : https://enfantadopte.jimdofree.com/ à l'onglet conçu pour cela. J'ai besoin de vous !
J'ai été adoptée à l'âge de 9 mois par des parents aimants. Malheureusement, le reste de la famille a eu beaucoup de mal à m'accepter. Du coup, j'ai grandi avec ce sentiment d'être «de trop». À presque 30 ans, j'en souffre encore. Mais lire que je ne suis pas la seule me rassure.
On ne sait jamais si quelqu'un lit ceci et veut partager un bout d'***@***
Modifié par Paul-Bernard le 16/10/2016 à 19:28
Bonjour :)
C'est peut-être un peu tard aussi mais je laisse une réponse tout de même.
Un enfant adopté arrive dans sa famille avec sa propre expérience de l'abandon, qui est un traumatisme. L'enfant sort en quelque sorte d'un état de choc. Qui sera refoulé plus tard ou qui resurgira dans ses relations avec autrui.
Bien sûr il y a toujours des moyens d'être heureux. L'adopté devra juste approfondir la connaissance de ce qu'il se passe en lui (quand il le souhaitera). Il peut par exemple tenir un journal intime, ou s'exprimer dans des activités artistiques ou sportives sinon. Il a besoin de savoir avant tout que quoi qu'il arrive, ses parents adoptifs seront toujours présents et ne l'abandonneront pas, quelle que soit ses actes.
J'explique plus en détail ce qu'est la blessure primitive de l'adopté et comment la gérer sur mon blog, si vous souhaitez aller plus loin : lien supprimé par la modération
Modifié par lisouasiatike le 25/03/2016 à 12:25
Pour moi je m'en sort mieux mais toujours un mal être peur de l'abandon mes relations amoureuses mes études un désastre sauf maintenant a l'age de 28 ans ... pour ce qui est de mes projets professionel j'abandonne chaque travail que j'ai tout mes projets je les arrêtes . J'ai l'impression de pas mérité le bonheur et inconsiement je gache toujours mon bonheur . Mon adolescence difficile je menter beaucoup pour me protégé j'été un clown a toujours rigolé ah vouloir montré que je vais bien a déconné mais au fond je souffrer de fou , mes parents mon pourri gaté et tout le monde me disais tu na pas a te plaindre de ta vie du cou je me suis persuadé de cela ...
mont et jamais su ce que je voulais faire de ma vie et meme a 28 ans aussi je crois , jété éntouré de personnes plus maintenant car je m'isole tellement j'ai été dècu .
j'ai donc perdu mon frère et 8 mois aprés ma mère qui été malade de la slérose en plaque des que je suis arrivé en france
je remercie dieu d'avoir donner des parents en or et le peut de fois que je me suis plein de cela on me disais te plain pas dans ton pays d'origine tu aurai été surment sans toit dans la pauvreté mais j'ai toujours ce mal être que personne ne comprenner et sa me rassure de voir que je ne suis pas la seul
26 mars 2016 à 06:34
Je suis vraiment désolée pour ton frère, c'est très triste.
Si tu veux discuter je suis là