Que pensez-vous des femmes qui privilégient leur vie professionnelle ?
Résolu91 réponses
Je fais partie d'une génération de femmes pour qui l'émancipation passait par le travail. Quand ma fille est née, je ne me suis pas posé la question ; pour moi, c'était évident, et de plus mon mari étant encore étudiant, mon salaire était indispensable. Maintenant, je suis à la retraite, et je ne regrette pas mon choix. Je n'ai pas le sentiment d'avoir sacrifié ma vie familiale.
Ma fille a fait de bonnes études, elle avait une bonne situation ; elle a tout abandonné pour élever ses deux enfants (et elle vit à l'étranger). Bien sûr, les enfants sont épanouis, et ils n'ont pas été bercés par le "dépêche-toi, on va être en retard". Maintenant qu'ils sont scolarisés, ma fille pense à reprendre un travail ; mais je doute fort qu'elle retrouve un emploi aussi intéressant à 42 ans. Et qu'adviendrait-il si son mari venait à partir ou à disparaitre ?
Maintenant pour répondre exactement à votre question, je pense qu'il n'est pas utile de faire des enfants pour les confier à des tiers et les voir 1/2 heure par jour. Dans la vie il faut faire des choix. Mais il me semble qu'il est possible de concilier vie professionnelle et vie familiale, en aménageant son emploi du temps, et en se faisant aider, pourquoi pas par le papa ?
La même chose que pour un homme, notre vie professionnelle ne doit avoir comme objectif que de répondre aux besoins de notre vie tout court.
c'est un choix- j'ai eu mes enfants très tard, ainsi j'ai pu m'y consacrer totalement-mon époux de son côté se consacrait à ses parents âgés-
Bonjour,
Je ne peux juger que ma propre vie, pas celle des autres.
Comment peut on juger les choix que font les autres surtout si ces choix ne nous impactent pas ?
Un être responsable fait des choix et les assume, quelles qu'en soient les conséquences.
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
Je vais avoir 70 ans. J'ai démarré professionnellement dans des emplois médiocres aux salaires tout aussi médiocres. J'ai été élevée dans un foyer où il y avait le patriarche (papa) et la femme..... Papa aimait et respectait maman et n'aurait pas supporté que quiconque lui ou nous fasse le moindre mal, en acte ou en parole. N'ayant que ce schéma, je me suis mariée à 20 ans prête à reproduire la vie de ma mère. J'ai un peu travaillé jusqu'à ma grossesse. Couchée 8 mois, accouchement difficile et je devais normalement arrêter de travailler. Mais ces 8 mois d'immobilisation et de réflexion m'ont amenée à me poser des (bonnes ?) questions. Par quelle insupportable inégalité devrais-je rester assujettie à mon mari. Mais j'avais peur, honte... de provoquer des discussions sur le sujet tant avec mon mari qu'avec mes parents : j'abordais un thème politiquement incorrect. J'avais pourtant en moi tant d'énergie et d'envie de voir ce qui se passait au delà de ma porte.... Pour montrer que je pouvais faire autre chose, j'ai commencé par des études. Je n'avais que le BEPC et j'ai pris des cours de droit par correspondance. J'ai adoré. Peu à peu je me suis imposée comme une tête pensante, capable de se remplir valablement, et pas seulement comme une virtuose du chiffon. Je m'occupais avec bonheur de ma maison, de ma fille que j'adore, de mon mari. J'emmenais mes cours en voiture, (pour les lire aux feux rouges), au WC (pourquoi pas ?), dans mon lit, chez le coiffeur..... A aucun moment je n'ai eu l'impression de négliger ou de moins aimer ma famille. J'ai progressé professionnellement : cadre, puis cadre supérieur..... Mais en cours de route mon mari a mal accepté de ne plus être le Chef. Il n'avait plus sa chose pour lui tout seul. Nous nous sommes séparés. Il n'a plus voulu nous voir notre fille et moi. J'ai donc élevé ma fille seule avec des conditions financières qui m'ont dispensée de courir après la pension que son père ne daignait pas payer. En conclusion, j'ai eu une vie professionnelle épanouie, ma fille est toujours restée ma préoccupation essentielle, je lui ai fait partager mes changements d'affectation, les internats d'une semaine quand je ne pouvais pas l'emmener avec moi. Nous avons vécu ensemble des expériences incroyables et complètement inhabituelles pour un enfant..... Elle a aujourd'hui 48 ans et je ne crois pas qu'elle regrette cette vie, sauf peut-être que son père lui a manqué mais je n'avais pas le pouvoir de lui faire aimer sa fille. En résumé : laisse parler ton coeur ; je vois que tu n'en manques pas. Les enfants sont toujours plus heureux quand les parents, ensemble ou individuellement, sont heureux.
elles ont raison!!!!!!! jsui mére au foyer, j'ai 3 gamins et je rêve que d'une chose, pouvoir retourner bosser, avoir un semblant de vie sociale!! j'adore mes gosses, ils sont ma raison de vivre, mais ils ont une maman toujours triste et fatiqué, et pas du tout épanouie socialement. alors oui, bravo mesdames, continuez a travailler. avoir des gosses ça ne doit pas dire qu'on ne doit plus avoir de vie. et quand ils quitteront le nid et qu'on se retrouvera seule, sans amis, sans emploi et peut être sans mari (parce qu'il sera parti avec une working girl plus jeune) il nous restera quoi,?? mes gosses seront toujours ma priorité, mais moi je ne serais pas la leur, alors pas de remords, soyez heureuse!!
Ma réponse en 1 seule question: que pensez-vous des hommes qui privilégient leur vie professionnelle ?
d'une part elles sont trop dure, d'autre part c'est bien car elles font du serieux dans leurs boulots pour ne pas permettre aux hommes de se moquer d'elles ou que les hommesne profitent de leurs faiblesses.
J'ai toujours travaillé et ne pouvait pas m'imaginer femme au foyer. Puis à 41 ans ma fille est arrivée, je ne vis que pour elle (et son papa que j'adore), pour son bonheur. MAis cela ne m'empêche pas de vivre ma vie professionnelle. Pendant près de 1an au ralenti, ensuite je me suis absentée un peu plus, déplacements de quelques jours puis une semaine mais que du bonheur quand je rentre, pendant ces absences son papa s'en occupe et refuse même de l'aide extérieure. En ce qui me concerne, je privéligie les moments passés ensemble,on fait des activités à deux ou trois (cuisine, gâteaux, peinture, activité sur ordinateur...) et au diable le ménage...Une personne vient le faire deux fois par semaine? on peut se le permettre.
Je ne pense pas que qui que ce soit souffre d'une telle situation. Tout mon petit monde semble épanoui. Ne pas se poser trop de questions et prendre la vie comme elle vient!
Plus la vie vas plus le travail est impératif mais delà a laisser SONT ou CES EFANTS de cote et bien souvent d'ignorer sont époux ALORS restée célibataire VOUS allez tout perdre le PIRE l'amour de ces ENFANTS et le depart de votre HOMME
Moi, je pense qu'elles ne sont ni mère ni épouse, ce sont des égoïstes qui auraient dû rester célibataires. Je ne remets pas en cause la femme qui travaille car c'est un choix et/ou une nécessité mais l'ensemble est conciliable avec la vie privée quand on aime ses proches. Encore faut-il le vouloir...!
Ce n'est pas parce que l'on attache de l'importance à sa vie professionnelle que l'on délaisse à la fois ses enfants et son mari.J'ai élevé 5 enfants et j'ai toujours travaillé mais nous nous étions organisé avec mon mari; j'assumai d'emmener mes enfants le matin à l'école et mon mari commençant à 4H du matin les récupéraient à la sortie de l'école et les faisaient goûter puis les devoirs.Lorsque je rentrait vers 19H mon mari avait fait la cusine et nous mangions tous ensemble car moment important pour que chacun puisse raconter sa journée et esnuite le donnais le bain aux plus petits et tout les enfants étaient couchés à 20H30 .J'ajouté que je faisais partie des parents d'élèves et j'ai toujours participer aux Conseils de Classe de mes enfants.Le week end nous prenions notre temps tous ensemble afin de profiter des uns et des autres et ainsi j'ai mené de front ma vie professionnelle, de mère et de femme !!!!!!!!!!!!
pas bien trop d'enfants sont seules cela depant de la situation familiale mais un enfant on la pour la vie un patron demain peux vous remerçier sans s'inquiter de quoi demain sera fait il faut savoir faire le meilleur des choix mais le milieu familial c'est l'avenir de toute une vie la delinquance vient des mamans absentes
j ai privilegie ma vie professionnelle mes enfants me l on reproche elles n ont manque de rien .mais nous leurs avons manque pour les noel et les week-end c est un choix .
Bonjour,
Je penses que chacun est libre de vivre sa vie comme il l'entend. Pourquoi 1 maman ne pourrait pas s'investir à 100 % à sa vie professionnelle et à son bien être ? Beaucoup d'hommes le font, et cela ne choque pas. C'est un choix, qu'on approuve ou non.
C'est vrai que pour une maman, c'est peut être dur à comprendre, pour ma part, ma famille passe avant tout, mais je ne juge pas celles qui ne sont pas comme moi.
Ce n'est pas pour autant que ces femmes n'aiment pas leurs enfants et leur mari, elles sont épanouies et tant mieux pour elle.
nini, les personnes qui vont dans votre sens ont tout compris ?
et les autres, ce sont des idiots ou des monstres ?
je vous trouve bien prétentieuse, d'abord qu'est ce que ça peut faire à l'entourage si un couple fonctionne comme cela . de quoi je me mêle ?
alors celles ou ceux qui vous "agressent", je n'ai rien vu de tel d'ailleurs, auraient de la culpabilité ?
je crois surtout que vous vouliez dire aux femmes qu'elles devaient uniquement se consacrer à leurs enfants quand elles en avaient et à leur mari en plus, c'est un comble.
si vous avez fait un choix ça vous regarde et si vous le regrettez ça vous regarde aussi, vous pouvez toujours changer les choses. pas besoin de montrer du doigt celles ou ceux qui ne pensent pas comme vous.
vous constatez un laxisme chez certaines, vous ne manquez pas d'air!
vous a t' on donné tous les enfants des femmes qui travaillent à garder et à élever que vous vous permettez un tel jugement et une telle condamnation .
c'est incroyable ce jugement.
que savez-vous de l'éducation données dans les autres familles ?
j'ai même lu que la délinquance venait des femmes absentes et aller , c'est original, moi je m'amuse à vous lire, je ne suis pas du tout agressive, vous êtes tellement à côté de la plaque;
je croyais que la délinquance venait de l'absence de père mais vous , vous en savez plus que tout le monde.
