Punir par la fessée
Ferméjeanphi2017 Messages postés 9 Date d'inscription jeudi 19 janvier 2017 Statut Membre Dernière intervention 27 août 2020 - 24 nov. 2019 à 06:24
Bonjour,
Je voudrais réagir aux commentaires de certains(nes) internautes s'agissant de donner ou ne pas administrer de fessée à un enfant.
Personnellement, je suis favorable à punir les enfants d'une fessée lorsqu'ils ont dépassé les limites. J'ai été fessé durant mon enfance pour mon comportement intolérable (mensonges, paroles déplacées, insultes) et je ne le regrette pas car ces fessées étaient méritées.
J'ai élevé mes 3 enfants en appliquant cette même punition et ils n'ont pas non plus été traumatisés. Je crois que l'interdiction prononcée en décembre 2016 est une faute. Une fessée n'est pas un acte de maltraitance. Pensez au dicton : "Qui aime bien chatie bien." Bien entendu, la fessée doit être mesurée et représentée l'ultime recours. La discussion doit être avant tout la priorité pour raisonner un enfant. Mais il arrive que l'enfant ne soit pas réceptif et dans ce cas la fessée peut être la seule solution pour remettre son enfant dans le droit chemin.
Un enfant est plus ou moins mature et selon son caractère et sa sensibilité, une fessée aura plus d'impact sur lui s'il se comporte "en bébé"; c'est ainsi que l'on peut donner une fessée à un enfant de 12 ans s'il se comporte comme un enfant de 5 ans.
18 réponses
Bonjour
J’ai 45 ans mon père ne m’avais jamais donner de fessée avant mes 12 ans, cette age ou je suis devenu insupportable a la maison et au collège. Je ne passais pas une journée sans un mot dans mon carnet de liaison, mes notes été proche du néant, les renvois de l’établissement pour mauvaise conduite fréquentes sans parler des bêtises quotidiennes a la maison .
Mon père élevait seul ses 6 enfants et j’étais malheureusement pour mes fesses, le plus turbulent. Tout est rentré dans l’ordre quand je suis passé au lycée quelquechose en moi avait changé. Je ne le remercie pas, je ne l’accable pas, il m’a dit plus tard qu’il aurait aimé avoir trouvé une autre solution.
Bonsoir Jeanphi,
Recevoir une fessée à 12 ans est humiliant. Si l'enfant se comporte comme un bébé à cet âge-là, c'est qu'il y a une autre raison. Il faut plutôt consulter un médecin que de s'obstiner à lui donner des fessées.
Je suis aussi choquée par vos propos "qui aime bien, chatie bien"... Il ne faut pas exagérer !!! Une fessée n'est pas anodine !
24 juil. 2018 à 01:28
vous dîtes n'importe quoi vraiment !
20 mai 2018 à 11:12
Quand un ado ne se comporte délibérément pas de façon responsable malgré les explications et les avertissements, une bonne fessée déculottée peut-être la solution pour certains. Je ne généralise pas, ça ne marchera pas pour tous, mais pour certains, le choc et la honte de ce traitement seront salutaires pour passer le cap de l'irresponsabilité. Je crois que c'est le sens des témoignages de plusieurs ici.
Que dire d'un adulte qui dans certains domaines n'arrive pas à se comporter en adulte ? Je crois que certains le vivent mal et ont la lucidité de penser qu'une prise en main même ponctuelle leur serait profitable. C'est là aussi ce qui va permettre de passer le cap de l'irresponsabilité, faire sauter un blocage voire se mettre en règle avec soi-même.
24 nov. 2019 à 05:55
Je partage amplement votre point de vue. C'était le cas pour moi . Il n'y avait que la fessée
qui pouvait remettre mes idées en place . Ma mère m'avertissait toujours : "Attention Jean Philippe , si tu continues , je te déculotte et te fesse devant tout le monde ". C'était les années 60 , et à cette époque , la fessée était monnaie courante , que ce soit à l'école ou à la maison.
J'ai reçu des fessées déculottées par 2 institutrices , la 1ere en CE2 , la seconde en CM2
Quant à maman , elle m'a fessé jusqu'à 15 ans 1/2. Je ne lui en ai jamais voulu car je savais qu'elle me fessait pour mon bien .
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre questionModifié le 31 juil. 2018 à 15:43
Bonjour,
Je suis contre cela,
Mon petit garçon, va avoir 2 ans c'est encore un bébé, il demande qu'à apprendre en ayant des limites évidemment .. aujourd'hui il ya tellement d'autre solution que de frapper , car pour moi donner une fessée c'est lever la main sur son enfant...
Mon fils n'a jamais reçu une fessée, il vas au coin et encore cela est rare et pourtant du au de ces presque 2 ans il est poli et obéissent.
Je ne ferais jamais à mon enfant ce que je ne veux pas qu'on me fasse.
Évidemment l'éducation, tout le monde vois sa différement .. mais il est évident qu'un enfant recevant une fessée ce n'est pas une parti de plaisir .. imaginer dans sa petite tête ce qu'il ressent ? Un enfant n'a pas besoin d'être frapper pour comprendre... Et sa n'importe quelle psychologues, médecins vous le diront ..
Voyez les choses différemment et poser vous les bonnes questions ... Vous aimez donner des fessées à vos enfants ? Le voir pleurer vous satisfait car il a eu mal ? J'ai moi même reçu des fessées et claques étant plus jeune et je vous garantis que sa ma traumatisée...
Un enfant reste innocent ... Et n'a pas demander à naître c'est nous les parents qui avons désirés un enfant ..
Même si à un certain âge ils entre dans la phase de test, de provocation, de désobéissance cela ne justifie pas une fessée ou une claque .. on a tous été jeune ..
Comme je l'ai dit cela est mon point de vu .. j'espère juste que cela peut faire réfléchir..
J'ai une amie assistante sociale et je peux vous dire que la violence ne mène à rien .. car oui détromper vous donner une claque, une fessée c'est lever la main sur l'enfant.. même si pour vous cela n'est pas le cas..
L'éducation c'est très compliqué et être parents n'est pas simple..
Bonne après midi
Bonjour, j'ai 61 ans.
Personnellement, je suis favorable à la fessée. J'en ai reçu déculottées, mes enfants aussi, pas d'âge instauré, jusqu'à que l'enfant soit suffisamment mature. Ma fille aîné en a reçu jusqu'à ses 17 ans, mon fils 19 ans et la dernière jusque 16 ans. Et mes petits enfants en reçoivent aussi, les jumeaux âgés de 8ans, ma petite fille en a 13 et les deux plus grands ont 15 et 18 ans tous en reçoivent et sont plutôtobéissant ce sont des enfants et des ados encore. Bien-sûr il faut que celles-ci soivent méritées. Et je pense que pour de grosses conneries ou pour éviter que cela se reproduise une bonne fessée bien méritée s'impose pour leurs mettre les idées en place. SANS ETRE BATTU S'IL VOUS PLAIT. J'ai guattais mes enfants du mieux que je pouvais et je leurs aient donnés beaucoup d'amour. Je ne pense pas que ça soit une bonne idée d'installer une loi anti-fessée.
Après chacun élève leurs enfants comme ils l'entendent. Ce n'es que mon opinion.
Je suis atterrée de lire votre commentaire.
''Une bonne fessée bien méritée'' vous croyez vraiment ce que vous dites?
Si votre méthode marchait si bien...comment se fait-il que vous ayez du ''pratiquer''jusqu'à leurs majorité???Non mais je rêve!
8,15, 16, 17, 18, 19, ans . Je crois que vous preniez plaisir à agir de la sorte . Je considère que vous avez fait de l'abus physique et sexuel sur vos jeunes. De la grosse violence . Vos jeunes ont subi de l'humiliation et ne me dites pas qu'ils n'ont pas été battus S'IL VOUS PLAIT.
24 nov. 2019 à 06:24
Je partage amplement votre opinion , étant de votre génération ( 66 ans ).
J'ai reçu pas mal de fessées étant enfant et adolescent. Manquant de maturité, maman me corrigeait souvent pour mes bétises , mes mensonges , mes résultats scolaires insuffisants.
Ma fessée la plus sévère me fut administrée à 14 ans par maman devant tous mes camarades de lycée . J'avais osé sécher les épreuves du brevet l'après midi ce qui se solda par un ajournement . J'ai du repasser les épreuves en septembre .
Je me souviendrai toujours du visage de ma mère lorsqu'elle vit sur le tableau d'affichage devant le lycée la mention " Ajourné " en face de mon nom .
Sans dire un mot , elle m'a pris par la main , s'est dirigée vers le banc le plus proche et m'a déculotté devant tout le monde et j'ai reçu la plus belle fessée de ma vie .
En septembre , j'ai obtenu mon brevet avec la mention" bien".
Pour le bac , je l'obtins avec la mention " Tràs bien ".
Je remercierai toujours maman pour l'éducation qu'elle m'a donnée.
J'ai agi de la meme façon avec mes 3 enfants.
Aujourd'hui , je suis le Papy de 4 petits enfants .
L'ainée qui a 12 ans a reçu une fessée par sa maman récemment pour avoir fait une colère car elle voulait absolument un portable comme ses copines.
26 janv. 2017 à 13:13
Quoi que je sois contre les coups, fessée, dans l'éducation de nos enfants, cela m'est arrivé de donner une fessée, une tape sur la main. Il y a un moment effectivement il faut réagir, un enfant teste ses parents, mesure jusqu'ou il peut aller, et si la réaction n'est pas dissuasive alors il montera en puissance et il ne sera pas facile a vivre, je ne crois pas que pour son avenir ce soit une bonne chose que de le laisser toujours crescendo, prendre le dessus et le laisser croire que la vie c'est cela.
La loi ??, quand un enfant difficile devient délinquant, les premiers responsables sont les parents, mais quand un parent tape son enfant difficile qui sort des "clous" cette loi tombe sur le parent. Donc en fin de compte qui est responsable des parents ou de la loi ?
Il y a des parents qu'il faut réprimander car ils vont trop loin, mais il y a des enfants pour qui malheureusement il n'est pas possible de laisser passer une situation et que l'enfant mérite une fessée.
Il faut que ce soit encadré, mais pour ma part je dis, laissons l'éducation de l'enfant a ses parents. Un enfant qui va a l'école avec des bleus il faut que la loi s'occupe des parents, un enfant turbulent il faut que les parents s'occupent de leur enfant.
Que fait la loi de enfants difficiles ?, ils finissent en prison, c'est une punition, de même que celle des parents.
Encadrer oui, interdire non, une fessée n'a jamais tuer un enfant, donc arrêtons de traiter tout les parents de bourreaux d'enfant, car ces enfants lorsqu'ils grandissent nous en sommes témoins, reconnaissent que l'éducation de leurs parents a été juste, que s'ils ont reçus une féssée, il l'avait mérité et que cela a servi a quelque chose de positif.
Le cas donné ci haut est excessif pour ma part aussi. Que l'enfant de 12 mérite une fessée en publique oui car, l'enfant a ridiculisé sa mère en publique. Mais aller a lui baisser ses vêtements non, cela est dégradant.
Quand au respect, qui doit respecter qui ? La aussi il ne faut pas se tromper.
Quand un enfant dit a sa mère " on ne t'a pas sonné" c'est irresoectueux. Le dire en publique c'est inadmissible. Cela laisse penser a l'entourage que l'enfant n'a aucune éducation, c'est la qu'il faut qu'il comprenne qu'il a fait une grosse faute et la fessée et vraiment méritée.
J'ai rarement puni mes enfants (4) avec des coups, bien sur d'autres méthodes existent, mais je ne suis pas d'accord avec cette loi qui a mon avis va trop loin et fait des enfants rois, malheureusement j'en ai connu dans mon entourage et pour quelques uns, ils ont finis en prisons, car les parents étaient incapables de jouer leur rôle, l'enfant sachant profiter et se servir de cette loi a contre productive.
Il y fut une époque ou un prof tirait l'oreille de son élève et cela c'est toujours bien passé, aujourd'hui l'élève tabasse son prof, en plus un jour il fini en prison car après cela il continue a faire de mieux en mieux.
Est-ce vraiment dangereux pour l'enfant difficile une fessée, une éducation adaptée a son caractère en faite, sans jamais aller a l'excès bien sur, une loi encadrant cela est utile ?
Ou est-ce dangereux pour eux, de ne pouvoir rien faire car les mots parfois ne font plus rien, et on sait comment ils finissent pour beaucoup d'entre eux ensuite ?
26 janv. 2017 à 13:24
bjr lekabilien
pour revenir à votre post, je suis tout à fait d'accord à 200%.
vous l'avez mieux expliqué que moi,
une fessée meritée, oui
une fessée pour le plaisir de fesser, non car égal a de la maltraitance
et baisser les vetements pour mettre une fessée en publique, inadmissible.
j'ai 2 garcons, ils en on pris quelques unes car elles etaient meritées, et ils ne sont pas traumatisés pour autant.
les deux (14 et 20ans) vivent encore a la maison car des etudes et n'ont pas l'air de se plaindre d el'education qu'ils ont recu
26 janv. 2017 à 13:53
N'est-ce pas !
Il est vrai que le monde évolue il faut évoluer avec lui, mais l'évolution dans l'éducation des enfants a notre époque est tellement laxiste que nous en payons, ou plutôt, les enfants le payent chèrs.
Il vaut mieux une bonne fessée qu'un avenir en " galère".
Bonne continuation
26 janv. 2017 à 14:09
tout a fait !
3 oct. 2018 à 22:00
Comme beaucoup d'enfants de ma génération j'ai connu dans les années 60 les fessées et surtout les coups de martinet (généralement appliqué fesses nues et pas forcément en privé) toujours par ma mère.
J'ai occulté pas mal de souvenirs de cette époque mais je sais que cela a commencé assez tôt pour moi et il me semble cela s'est arrêté vers 6 ou 7 ans. Par compte mes frères y ont eu droit jusqu'à l'age de 12 ou 14 ans.
Encore aujourd'hui j'ai du mal à mettre le mot maltraitance au sens traditionnel du terme. En effet d'une part ce n'était jamais gratuit et le plus souvent donné sur le coup de la colère. D'autre part c'était une forme d'éducation alors courante admise par la très grande majorité des gens et que ma mère ne faisait que reproduire l'éducation qu'elle avait elle même subie (elle disait bien connaitre la douleur que pouvait procurer l'usage du martinet et je peux confirmer que cela faisait mal). Cela n'arrivait pas tous les jours mais les menaces etaient récurante, on menaçait d'ailleurs à l'époque régulièrement de maison de correction. La terreur ne régnait pas (bien qu'une inquiétude devait toujours rester latente) et notre éducation qui n'était au fond pas plus sévère que dans beaucoup de familles.
A l'école il en était un peu de même, coups de règles sur les doigts (même chez des institutrices réputées douces, gifles parfois bien fortes quand on se trompait (je l'ai vécu) et par la suite quelques d'amis(es) et connaissances de mon âge et meme plus jeunes m'ont avoué avoir connu la fessée publique déculottée.
Sans doute étais je un enfant particulierement sensible car je dois reconnaître avec le recul j'ai été profondément marqué par ces principes éducatifs. Timidité maladive, manque de confiance en moi, troubles psychiques, difficultés a gérer les sociabilités, incapacité a assumer tout type de violence, inhibition sexuelle (la sexualité était vraiment tabou et tout désir accompagné de sentiments de culpabilité) et même des tendances masochistes non assumées.
Je devine déjà la réponse que vont me donner beaucoup de "pro-fessée" : les temps ont changés et quel rapport avec une petite fessée donnée occasionnellement à un enfant qu'on n'arrive plus à gérer autrement ?
Mais les temps ont ils tant changées ?
S'il me semble que la fessée si elle est fe plus en plus mal vue pour beaucoup me semble très loin d'avoir disparu du paysage éducatif français. La preuve en est ce débat.. Je crois que les nostalgiques peuvent se rassurer, elle reste bien présente.
Dernièrement encore j'ai entendu une jeune grand mère que je connais bien, affirmer "il faut que les fesses soient bien rouges". Et sa fille avouer en d'autres occasions qu'en désespoir de cause il lui était arrivé d'utiliser la ceinture (vu la situation actuelle de la famille les choses ne se sont pas arrangées). Nombre de fois j'ai entendu des collègues même jeunes, annoner avec résignation mais parfois avec fierté avoir fini par donner la fessée bien mérité à leur progéniture.
Personnellement j'ai eu des enfants et j'ai évité au maximum de reproduire ce que j'avais vécu (peut-être est ce arrivé 2 ou 3 fois et encore de plus j'ai été guère convainquant dans le rôle de père fouettard). Pourtant je reconnais avoir été troublé par le fait de la nécessité ou pas de telles pratiques et toujours été ramené aux souvenirs de ma propre éducation. Difficile quand on a été élevé d'une certaine manière d'effacer des réflexes si profondément ancrés en nous. Comme la plupart, je suis très énervé quand je vois des enfants qui se permettent tout et la réponse naturelle serait violente. Mais je me révolte aussi quand j'entends dire que une bonne fessée n'a jamais tué personne car je pense le contraire... cela peut tuer beaucoup choses en nous, même si parfois ce peut se révéler très pratique momentanément et parfois parfois nous aider a franchir certains stades (je ne le nie pas). La violence fait partie de la vie en ajouter pourrait elle nous aider a nous en prémunir ? Ou au contraire nous fragiliser un peu plus ?
Et parle-t-on aussi assez des violences psychologiques qui peut a des conséquences toutes aussi terribles. L'absence de soin et de volonté éducative en est une également.
Les débats sur la fessée ne date pas d'aujourd'hui et ne semblent pas prêt de se terminer. Mon but est ici c'est de rapporter mes propres expériences mais aussi mes interrogations car malgré ce que j'ai pu vivre j'ai toujours du mal me limiter à un jugement définitif.
Je voudrais dire seulement une ou deux choses aux pro-fesseurs qui me semblent des sujets de reflexions importantes:
Quand on parle de fessée éducative il est toujours question de domination sur un être plus fragile que soit, même si on lui veut le plus grand bien du monde. Or paradoxalement il s'agit de le frapper lui faire mal, même symboliquement, et de plus frapper sur les fesses, une des zones érogènes les plus puissantes chez l'être humains. Il est loin le temps ou l'on disait que les enfants n'avaient aucune sexualité et oubliaient finalement tout cela en apprenant le bien vivre social. On n'hésite pas à s'attaquer par ailleurs sans ménagement sur les violeurs, pédophiles, ou autres déviants sexuels, bien sûr avec justesse quand cela part d'une volonté de prévention mais est ce une réponse appropriée ? Surtout que ceux ci ont généralement d'abord étés victimes et peut être entre autre de ce que bon nombre d'entre nous perpetuons ancestralement de façons peut être pas si anodines que cela et avec toute la bonne conscience apparente du monde. Il y a plein de choses négatives en nous que nous véhiculons par habitudes culturelles et pulsionnelles.
Aujourd'hui nous en apprenons de plus en plus de choses avec entre autre le développement des neurosciences sur le développement de l'être humain, même avant sa naissance.
Je conseille par ailleurs pour ceux et celles que cela pourrait interesser les travaux d'Alice Miller sur ce sujet. https://www.alice-miller.com/
26 janv. 2017 à 08:51
bonjour
je pense qu'il ne faut pas confondre féssée et humiliation.
que la maman donne une fessée car sa fille n'est pas respectueuse, ok.
par contre de là, à relever la jupe, baisser la culotte et le collant...
là ça devient de l'humiliation gratuite à mon sens
la fessée pouvait très bien être donnée en gardant les vetements.
--
"je crois que c'est le rôle de Dieu de leur pardonner... nous, notre boulot, c'est seulement d'organiser cette rencontre." Général Schwartzkoph
26 janv. 2017 à 11:45
Bonjour
Je pense également que la fessée est nécessaire dans certains cas uniquement tel que l'insolence, l'irrespect, les insultes....
Après il faut savoir que ça dépend de l'enfant aussi car certains ont besoin qu'on hausse la voix, d'autres qu'on mette en application les menaces maintes fois répétées.
La base : si les enfants ne respectent pas leur parent, ils ne respecteront personne d'autre qu'eux.
Je confirme l'exemple plus en disant que je ne suis pas d'accord d'avoir un enfant Roi. Ce sera juste le monde à l'envers!
Aujourd'hui regardez la délinquence, elle commence à quel âge?
Pour quoi? Car ils ne sont pas punissable jusqu'à 18ans
On gagne quoi? Des agressions en toute sorte par des enfants dont les parents ont baissé les bras ou se sont laissés dépassés.
A qui ça plairait de se faire agresser par un mome de 14ans? On dira mais quel éducation ont donné les parents... Justement ces parents n'ont pas pu punir, donner des fessées à cet enfant à cause de la loi. Et qui est responsable de ces conneries, ces mêmes parents à qui on interdit de corriger leur enfant pour leur apprendre le savoir vivre...
Après chacun est responsable de ses choix, du futur de ses enfants...
9 oct. 2017 à 13:56
Dans le cas de Sophie,sa maman a très probablment été véxée d'être confrontée à un tel manque de respect intolérable.La fesser de cette manière lui a rappelé qu'elle n'était qu'une gamine ...J'ai reçu cette correction jusqu'au collège (mensonges, manque de respect , manque de travail, petit larcin) et je n'ai jamais recommencé....Une bonne fessée de temps en temps n'a jamais fait de mal à personne est n'est pas dangereuse .La honte de la déculottée est une double punition ....très efficace pour ma part .Les fesses mises nues et recouvertes juste après la fessée .
17 oct. 2017 à 17:52
Bonjour Caro,
Merci pour votre témoignage . Je m'aperçois que vous etes en accord avec moi
Un enfant de 12 ans irrespectueux envers ses parents mérite une fessée déculottée . En effet c'est une double punition mais dans le cas de Sophie je peux vous dire qu'elle n'est pas prete à insulter à nouveau sa maman
Elle a été vexée d'etre punie ainsi mais je crois que son attitude méritait une punition exemplaire
Personnellement , à 15 ans , j'ai reçu une fessée déculottée devant ma copine d'enfance pour avoir insulté ma mère
Je n'ai plus jamais insulté maman mais je peux vous dire que cette fessée m'a marquée pour la vie
Néanmoins je l'avais amplement méritée
17 mars 2018 à 23:51
Bonsoir stf-frmu
La fessée par-dessus les vêtements fait à force et à durée égale beaucoup moins mal, surtout si en hiver et comme le relate ce témoignage la punie porte des collants en plus de jupe et culotte. Ce n'était donc pas gratuit que d'avoir ôté ces trois protections. On peut être contre la fessée, mais on se dit que cette mère a fait les choses jusqu'au bout ; une fessée sans avoir au préalable déshabillé son insolente de fille aurait peut-être fait rire celle-ci. La mère pouvait certes par souci de décence envers une ado ou presque ado ne pas aller jusqu'au bout, ne pas baisser la culotte, mais seulement les collants et après avoir soulevé la jupe. Mais supposons qu'une une petite sœur soit à son tour amenée à recevoir la fessée et que ce soit alors à nu ? n'étant pas encore ado ? Il y aurait injustice. Une fessée est administrée laisser un mauvais souvenir et la honte y contribue, qui plus est devant témoin ou en public ;
ce n'est donc pas gratuit que de complètement déculotter, et on peut bien sûr s'insurger contre cette pratique.
27 janv. 2017 à 18:34
bonjour
je me joint au debat depuis des generations la fessée existe et donne le point final ""tu est allé trop loin maintenant""
bien sur elle doit restée a mon avis beaucoup plus une vexation que douloureuse
j'en ai pris enfant et donné parfois sans étre de la maltraitance
pour les gens qui disent que cela produit des futurs delinquants ou violents j'aimerais connaitre le pourcentage de delinquants actuels qui ont eu des fessées et celui de gens ""ordinaires""et respectueux qui en ont eu
--
apprendre c'est écouter ceux qui savent et ignorer ceux qui croient savoir
Bonjour Lili,
Chacun éduque son enfant comme il veut .
Personnellement ,je suis favorable à la fessée sans en abuser évidemment . Cette façon de punir n'est pas anodine comme vous l'énoncez mais elle est parfois efficace .
Tout dépend de la faute commise par l'enfant
Les fessées que j'ai reçues durant mon enfance étaient justifiées car mes mensonges répétés ma provocation vis à vis de ma mère méritaient un chatiment exemplaire .
J'ai pris conscience à 15 ans qu'etre puni comme un gamin n'était plus acceptable et cette fessée reçue à 15 ans m'a fait réfléchir et je me suis tenu à carreau depuis
Bonjour
Je suis d accord avec Lili une fessée est parfois éfficace.
Dans les pays comme la Suède , Norvège ils constatent après des années de mise en place le mal qu a causer
l interdiction de la fessée : délinquance, enfants roi,aucun respect, des denonciations mensongères et des parents emprisonner....
Ils regrettent leur choix alors nous bien sur comme c est nul on prend!!! le pays va tellement bien
Je voudrais apporter un témoignage sur l'état d'esprit des parents confrontés à leurs pré-ados .
Comme tous les après midi je me rends chez des collégiens pour leur donner des cours de soutien scolaire
Mardi soir , j'ai donné un cours à Sophie agée de 12 ans qui est élève de 5ème .
D'habitude , très concentrée sur son travail , ce soir là elle n'était pas disposée à travailler et sa maman l'a recadrée et lui a demandé de bien se concentrer sur les exercices que je lui donnais .
Sophie répliqua :" Maman on t'a pas sonné , laisse nous tranquille " . Je fus surpris par l'insolence de mon élève et je me demandais comment allait réagir sa mère
" Sophie , tu t'excuses immédiatement sinon je te donne une fessée devant ton professeur!"
"Dans tes rèves ! " répondit Sophie
Sa maman , révoltée par l'insolence de sa fille fondit sur elle , releva sa jupe et baissa son collant puis baissa sa culotte .
Sophie , prise de cours , ne put échapper à la fessée et malgré ses excuses tardives reçut une fessée magistrale .
Je me suis dit que sa maman a eu raison de fesser sa fille car une telle insolence méritait un chatiment exemplaire
Je me réjouis que certains parents punissent sévèrement leurs enfants malgré l'interdiction de la fessée depuis fin 2016
Qu'en pensez-vous chers (es) internautes ?
J'en pense que si sa mère lui baisse sa culotte et lui donne une fessée qui plus est devant des étrangers, rien d'étonnant à ce que la gamine lui cause du souci. Un enfant respecté est respectueux. cela ne signifie pas qu'il faut tout laisser passer, les limites sont essentielles, mais la manière est effrayante. comment voulez vous qu'elle ait confiance en elle, qu'elle fasse confiance aux gens etc en étant traitée comme cela? c'est un cercle vicieux. plus ses parents la rendront mal, plus elle sera insupportable, il est tps qu'ils se ressaisissent. Vous respecteriez qqn qui vous rabaisse et vous frappe vous???? ou vous auriez envie d'être aussi violent que lui? réfléchissez un peu!
J’ai gardé le fils de 6 ans d’une pédo-psychiatre pendant plusieures années. Pas de fessée, jamais. Que du blabla et de la tchatche pour le "résonner". Je ne l’ai connu que mal-éduqué, menteur, irrespectueux, violent dans ses propos etc. J’ai fini par crier, crier très fort... bien sûr je lui aurait bien mis la fessée, mais c’était pas à moi de le faire. A compter de ce jour, il s’est bien mieux comporté et je précise qu’il n’était pas traumatisé, juste remis à sa place. Je pense que la fessée aurait complété le travail.
27 janv. 2017 à 00:06
Laissons les parents éduquer leurs enfants, cela c'est toujours fait ainsi.
Je suis tout à fait d'accord avec vous . Il appartient aux parents d'éduquer leurs enfants comme bon leur semble
La fessée est une punition appliquée depuis des siècles et contrairement à ce que pensent certains intellectuels (psychologues , sociologues etc...) cette punition reste efficace et ne reflète aucun acte de maltraitance
Je ne crois pas que les enfants nés dans les années 1950 à 1970 ont été traumatisés par cette pratique
Je pense qu'un référendum sur cette question serait le bienvenu plutot que laisser les sages du Conseil Constitutionnel légiférer
Je souhaiterais que les citoyens se prononcent eux-memes et pourquoi pas réintroduire la fessée à l'école
Qu'en pensez-vous ?
Je vous dirai juste cela : on ne tape pas les prisonniers du moins en France, on ne tape pas les adultes non plus, alors pourquoi taper les enfants, je me demande vraiment comment on peut faire ça. Enfin chacun fais comme bon lui semble même si je peux comprendre que des parents soient désemparés par le comportement de leur progéniture. L'enfant se nourrit de ce que lui donne les parents, à méditer.
Modifié par Laura_redacJDF le 27/01/2017 à 12:29
bonjour
les nouvelles :
mais je m'étrangle que l'on ai pas parlé de l'age ! car le recit de jeanphi sur cette ado de 12 ans me reste en travers de la gorge
--
ce qui semble évident pour les uns, ne l'est pas forcément pour les autres
27 janv. 2017 à 19:30
attention sur le lien post 22
il me semble que cela n'est pas definitif, donc consultez le lien qui sera mis à jour dès de nouvelles infos (certainement quelques mois)
t'es ok Laura ? ou je me trompe ?
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ce qui semble évident pour les uns, ne l'est pas forcément pour les autres
Si j'ai bien compris , vous vivez en couple avec un compagnon
Avez-vous adopté des enfants tous 2 ?
Quel est votre mode d'éducation aujourd'hui puisque vous avez connu étant enfant la fessée
Personnellement, je ne suis pas défavorable à la fessée mais Il est absolument indispensable, au préalable, de motiver l'enfant pour le projet que l'on a sur lui quand on lui demande de faire ou de ne pas faire quelquechose pour éveiller en lui le désir de l'obéissance. Avec beaucoup de tendresse et de chaleur humaine, il faut l'intéresser et lui faire comprendre les avantages qu'il y a à faire ce qu'on lui demande et les désavantages qu'il y a, au contraire à ne pas le faire pour installer la confiance au lieu de la peur. Il est très mauvais de chercher à installer chez l'enfant la peur de l'adulte. C'est l'amour qui doit présider à tout dans les relations humaines. Ensuite si l'on s'aperçoit de ce que la fessée est nécessaire-ce qui n'est pas du tout exclu parce qu'il peut y avoir des résistance très fortes chez l'enfant-il faut qu'il y ait un temps d'immédiate pré-fessée durant lequel l'adulte fait tout pour soutenir l'enfant et l'encourager parce que l'on sait qu'il va traverser une période difficile et un temps d'immédiate après-fessée consacré à la consolation. Et il faut aller jusqu'au bout de la consolation.
Je pense qu'il faut vraiment répondre aux besoins de l'enfant et que la sévérité de la fessée doit être le plus rigoureusement ajustée à ces besoins parce quil faut qu'elle ne serve qu'à l'introduire dans une vie meilleure et que la tendresse, elle, doit être un torrent continuellement jaillissant du coeur de l'adulte.
C'est comme cela que l'on fait vraiment grandir l'enfant.
23 juil. 2018 à 16:00
bonjour, alors je suis pas fan du "qui aime bien chatie bien", dans cette situation je trouve ça un peu étrange ! Mais je suis également favorable à la fessée quand c'est devenu compliqué de faire autrement mais tout en expliquant bien les choses ;)
23 juil. 2018 à 16:42
Même si je suis farouchement opposé à cette méthode d'éducation, je comprends que vous puissiez perdre votre sang-froid même si il y a toujours le rapport de forces..
23 juil. 2018 à 16:44
Ça remet les idées en place parfois :)
23 juil. 2018 à 17:10
État de sideration semblable à celui d'une agression physique la personne ne bouge plus et reste immobile. Si vous êtes témoins d'une agression ce que je vous souhaite pas observer la réaction de 90 % des gens, ils ne bougent plus.
Je suis d'accord avec vous, je rejoins votre interprétation et votre finalité de ne pas frapper un enfant peu importe ce qu'il a fait. D'autres pars je lis par certains commentaires, avis je me demande effectivement si certain ne prendrais pas plaisir à fesser leurs enfants à les entendre raconter. Le prochain combat de notre siècle et l'arrêt définitif et le changement de mentalité dans l'éducation car un enfant d'avant fait celui d'aujourd'hui, je suis persuadé que les mentalités changeront il n'y a qu'à regarder dans le temps. Remontons au 19 siècles, les parents avaient le droit de battre leurs enfants et s'il le tuait ce n'était qu'un accident. Puis petit à petit on s'est aperçu que ce n'était pas bon et donc on a réduit jusqu'à dire qu'on peut frapper dans la limite de ne pas faire de marque. Mais le problème reste le même, il est temps de changer de regard et d'arrêter de croire que l'enfant est mauvais et qu'il faut le dresser, le mater, le formater pour en faire un être soumis. Vous verrez cela changera.
Vous avez tout à fait raison. Une fessée n'est pas anodine. C'est la raison pour laquelle je soutiens que pour se permettre de la donner, il faut au préalable avoir dépensé de l'énergie à éveiller chez l'enfant le désir de l'obéissance et que, s'il est nécessaire de la donner, il y a un protocola à respecter absolument. Encourager l'enfant, le soutenir parce que l'on sait qu'il va traverser un moment difficile, passer à l'acte et, enfin le consoler et aller jusqu'au bout de la consolation.
Il faut absolument s'interdire de fesser un enfant sans aucune préparation et simplement parce que l'on perd patience. C'est un acte très sérieux et il faut absolument que l'enfant soit convaincu que l'on pose cet acte-là pour le faire entrer dans un vie meilleure.
C'est comme cela qu'ont créé des gens agressifs, ils frappent ou agressent les personnes car pour eux c'est justifier selon leur propre barème si j'ose dire. A t-on déja vu un juge demander à frapper un criminel ou un assassin, je n'en ai pas connaissance en tout cas. pourtant c'est exactement ce que laisse penser votre message on peut que quand on juge que c'est possible pour le bien de l'enfant soi-disant.