souvent je me suis posée la question....on évite la salle mortuaire...on évite lle jour du dernier salut...il y a toujours une bonne excuse....j'y vais pas car je supportes pas...je ne salue pas la famille car qu'est ce que tu veux leur dire , c'est pas le moment....mais consciemment on sait que l'on agit en lachetée...on aime rigoler,faire la fete,danser,boire mais on a peur de se faire voir vulnérable , de pleurer, le définitif nous fait peur alors on évite...
J'espère que quelques personnes sont près de vous et soyez sur que si elles sont avec vous en ce moment drammatique elles vous accompagneront toutela vie dans votre chemin.
J'aimerai etre à vos cotés en ce moment .
Vous etes dans mes pensées...mes sincères condoléances
Nadège
Merci pour vos réflexions pertinentes.
Il faut savoir écouter, entendre, réfléchir, et méditer.
Et il faut savoir recevoir, donner, aimer.
Pas simple.
Et trés rare. Pour tous...
En parler, un pas, puis un autre...
Amicalement.
Peut-être pas toujours de l'égoisme ou de la protection de soi. Soit!!!
Mais par exemple, moi, j'ai été confrontée à plusieurs drames, mon neveu est décédé d'un accident de petite moto, il avait tout juste quatorze ans.
Et bien, j'ai pris 4 jours de congés sans solde, et je suis partie de suite en haute-Savoie pour épauler la Famille. Mon coeur a parlé, ma peur a été surmontée, il ne s'agissait pas de moi, mais deux.
Pas un membre de cette famille n'est venu pour mon petit, ni à l'enterrement, rien, ils m'ont répondu, c'est trop dur...
Les amis, amies se sont détournés...
Comment comprendre, dans des moments ou le plus besoin de réconfort , d'amour, personne.
Je sais que quand on donne, c'est sans attendre en retour, mais un minimum, m'aurait fait chaud au coeur.
Du coup, je change, pas en bien, je crois.....
Par contre, mon mari, mes deux autres enfant, belle-fille, petits-enfants.
Houf !!! Heureusement et des mots gentils comme les vôtres... Sur ce chemin, j'ai rencontré des personnes super aussi, pas toujours pessimiste.
J'ai écrit un témoignage qui j'espère sera édité, mais je me leurre pas...
Des drames il y en a tant d'autres.
Et vous aurez un aperçu, pour une compréhension plus profonde.
Mon fils mon enfant, mon amour de Dadou.
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il y a les personnes qui ce croie supperrieur a vous , donc ils n'ont rien a faire de notre douleur, ils y a les persones qui souffres trop pour en parler ,t'autre qui ne peuvent faire le d'euil du disparu car on leurs interdit de participer à l'enterment car il est consistéré comme trop jeune ,donc il se replie sur lui et ne se sens pas le droit de montrer sa souffrance, t'autre à qui on leur apprend à ne pas la montrer et des personnes qui ne s'avent pas comment te reconforter et ce sentent mal a l'aisse devand ta detresse donc il fuit pour pas t'ajouter de la peine etc ...
Bonsoir...
Moi,je n'ai pas perdu d'enfant mais j'ai 2 enfants malentendants et ma famille n'aime pas quand je parle de ce problème,ils évitent ces situations qui doivent être pour eux comme pour moi déstabilisante mais j'aimerais bien en parler sans aucun tabou...
La famille,dès qu'il y a un problème,ils font tout pour ne pas en parler et même carrement ignorer le problème.
Mes enfants sont appareillés des 2 oreilles et relié avec un micro mais non,ils n'ont aucun problème..
Je ne pense pas que se soit de l'égoisme ou tout autre chose mais ce doit être gênant pour eux...et comment parler de ce problème?
Bien amicalement.Rosmeonde.
c'est souvent la peur de ne pas trouver les mots qui réconfortent et apaisent ce n'est évident pour personne de gérer ses émotions. certains ont peur de pleurer avec vous pensant certainement que ça ne vous aidera pas. certes ils se trompent mais ne savent pas "faire" tout simplement. aidez les à libérer leur parole et dites leur que vous avez besoin d'eux. ils ont eux aussi besoin d'aide.
Je ne suis pas certaine qu'il s'agisse d'égoïsme, je pense que vos proches souffrent aussi, de la perte de votre enfant, et de votre propre souffrance, ils savent bien qu'ils ne peuvent pas la soulager, et peut-être est-il plus facile pour eux de s'éloigner que de dire et partager le poids d'une douleur si affreuse.Toute ma sympathie, Sylvianne.
