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Difficile de répondre à une telle question prise en dehors du contexte.
Le cas de figure le plus classique est que "la belle-doche" que vous êtes veut revivre les bons moments de son passé en s'accaparant de sa petite fille. En réaction, la maman veut récupérer le fruit de sa chair. Jusqu'ici, le scénario est normal. Il dérape si l'enfant fait l'objet de vengeance !!! Que s'est-il passé avec votre fils ? La maman a-t-elle été trompée par votre fils ? ... Difficile de savoir ce qui se passe dans la tête des gens et au sein d'un couple.
Pour moi qui suis chrétien : un seul chemin, celui de la prière est un bon vecteur, sinon, le dialogue (retour à la case belle-fille ou fils), sinon encore le report de l'affection sur les autres enfants et petits enfants, ou sur une autre occupation ou même un groupe de dialogue avec des personnes connaissant la même situation (vous n'êtes pas seule dans ce cas, et votre cas n'est pas désespéré, et s'il l'est vous risquez de focaliser sur la situation et somatiser (c'est-à-dire la traduire en maladie grave qui va évacuer le problème automatiquement).
Une réponse à votre question : nous sommes tous "méchants", pas un pour racheter l'autre, et il a fallu que Dieu envoie son Fils pour nous sortir de l'ornière.
Bonjour,
Pour vous donner une idée et apporter mon grain au moulin, euh mettre du sel dans l'eau... Bref, dans d'autres cultures-ce qui n'est pas le cas visiblement- les proches agissent souvent selon les us et coutumes, parce que c'est un moyen de perpétuer les gènes et la cohésion clanique. Voyez plutôt :
Quand notre fils - aujourd'hui un ado d' 1m90 ! - est né, sa grand-mère maternelle, comme c'est de coutume pendant que les parents- surtout le père- travaillent, a fait en sorte de me mettre à l'écart, à son profit (sinon?), j'en ai été choqué. Pas par méchanceté, ce sont les usages; mais j'ai insisté et de toute façon, nous sommes repartis une année plus tard environ.
Elle m'avait "rabaissé" devant un photographe de studio notamment (où nous étions pour les tout premiers clichés après la naissance) à qui elle avait clairement dit que je n'étais pas capable- gauche étais-je certainement au début ! -. Depuis, j'ai fait du bénévolat comme assistant d'éducation de cours d'anglais. Alors vous voyez, les enfants...
Ce qui aurait du me mettre la puce à l'oreille, c'est que ma belle-mère ne voyait pas d'un très bon oeil le mariage de sa fille avec un étranger, je n'invente pas, c'est cette dernière qui me l'a ensuite rapporté. Sa mère est "revenue" plus tard sur cette attitude-le mal était dit (et fait)-, mais on n'en a jamais parlé; et, mon Dieu, c'est pas non plus le genre de ma femme...
