7 réponses
très dur !!!!!!!!!!!!
mais c'est la PATIENCE QUI TE PERMETTRA DE VOIR SI tu peux redonner ta confiance.
LES PAROLES NE SERVENT PASPOUR REGARDER DERRIERE LE VOILE..........................
REGARDE BIEN
CHAQUE GESTE
CHAQUE ATTITUDE
la cohérence des mots et des actes..............
si tu doutes..........ECOUTE BIEN TON INSTINCT !!!!!!!!!!!!!!!
car souvent; on voit très vite à travers le voile.................ET LA PEUR D"ETREE SEULE..................ET NON PAS L' AMOUR..................NOUS RENDS AVEUGLE.........
c'est souvent LA que l'on se fait piéger
AMICALEMENT
Ce n'est plus une confiance qu'il faut donner, mais un droit d'accompagnement voilà tout.
Votre but doit être de parer à la moindre éventualité d'un recommencement.
Un éclatement familial arrive dans toute les familles, alors préserver vous avant tout.
Un triste témoignage Claudine, je comprend très bien votre ressenti, si si, j'ai 54 ans, et une vie disons dans le même sentiment d'ignorance, et je ne vous en voudrais pas de ne plus avoir de sentiments pour vos parents..
Comment peut-on refaire confiance, c'est impossible, que l'on soit catholique et pratiquant, là je ne sais pas si la religion entre en ligne de compte, car si elle y entrait, alors pourquoi nos parents n'ont pas eu de sentiments envers leurs enfants.
C'est bien beau de dire que nous, nous devons céder, non, je ne le ferais plus, trop de souffrance, trop d'ignorance, pour elle, je devrais être morte, elle n'aime pas mes enfants, ignore complètement ses arrières petits-enfants, oui je sais, y'en a qui vont se dire comment nous on sera plus tard à l'âge de nos parents, hé bien, j'espère ne pas reflêter la même image que ma mère ah non, jamais...
elle a tout fait pour éclater la famille, frêres et soeurs, il y a 2 clans, mais moi je suis toute seule dans ce clan, et aujourd'hui, je sais pourquoi je me retrouve seule, et pas de pardon pour elle, ni de confiance, rien de tout celà, et même si je tourne la page, je ne peux pas fermer le livre de cette souffrance....
Je ne viens pas d'une famille Catho, Marie-France Je suis la seule, mais "je suis une mauvaise fille, je dois me confesser à mon église" C'est ce que m' a dit, il y a quelques années, hurler, devrais-je dire, mon frère devant l'arrét de bus où j'attendais avec de nombreuses personnes
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Je suis catho, pardonner c'est un peu trop facile, ça encourage à se qu'on vous refasse les mêmes crasses;
Égoïstement je pardonne pour moi, pour ne pas me prendre la tête, mais je n'oublie jamais, c'est mis en retrait. Le plus difficile pour moi est de faire bonne figure.
Quelqu'un qui me trompe n'a plus jamais ma confiance, heureusement il y a toujours quelqu'un si l'on prend la peine de chercher.
L'indifférence, je pense que c'est le meilleur sentiment à donner.
Oui, on dit pardonner, mais je pense que c'est se voiler un peu la face, on ne veut plus entrer dans des conflits, alors on dit " je pardonne", mais c'est bien pour couper court à tout.
Je tourne la page, je change mes positions, je n'évite pas, je ne me replie pas, je suis moi-même, je passe à autre chose, mais peut-on oublier ce qui a été fait, je ne le pense pas, c'est trop ancré dans notre vie, on fait abstraction c'est tout.
J'ai perdu ma famille, mais je me dis que si je continue à en parler, c'est que j'ai encore des sentiments, je ne peux renier mes racines, alors, quelque part en soi, on a toujours un lien.
Mais la roue tourne, il faut passer à autre chose, on a sa vie, sa famille à soi, et rien n'est plus beau que de se consacrer à ce bonheur, laissons ce qui est moche derrière, çà fait moins lourd à porter...