Problème de scolarité

pogona - 27 janv. 2013 à 14:59
 Utilisateur anonyme - 27 janv. 2013 à 16:16
Bonjour,
en tant que grand spécialiste, trouvez-vous normal, que peu après la naissance les enfants sont parqués en crèche, puis à la maternelle avec des horaires identiques à ceux de l'école primaire, puis la suite jusqu'à quel âge. A la maison, le mot clé c'est l'école. Quand on voit les jeunes dans le secondaire, ils sont dégoûtés de l'école. Dans tout ce cursus qui élève réellement les enfants (leurs propres enfants) car il y a maintenant des mélanges dans les familles (sans commentaire). Je ne suis pas concernée, mais loin d'être insensible, voire révoltée. Tout est conçu pour que les parents puissent travailler sans avoir les contraintes des enfants. Et l'amour, l'affection, le dialogue dans tout cela. Les parents boivent et les enfants trinquent!!!! va-t-on arriver à agir comme dans le meilleur des mondes ? nous n'en sommes pas loin. Le gouvernement n'aura pas à réfléchir sur les mots papa et maman.
C'est un problème dont on ne parle pas, car il faut de l'argent pour faire vivre les gens, mais à quel prix. Les vraies richesses je les ai connues quand j'étais pauvre et cette période là je ne la regrette pas car mes parents étaient réellement présents et assumaient ce statut comme ils le pouvaient. Merci, mais il fallait que je me libère

1 réponse

Utilisateur anonyme
27 janv. 2013 à 16:16
Bonjour,,,

C'est comme les animaux élevés en batterie ou en plein air ;)

Je charrie avec cette métaphore. mais il est vrai que l'argent limite les choix, et si sacrifier un budget supplémentaire pour s'occuper de son enfant implique de sacrifier les études ce n'est pas très judicieux.

Il faut quand même pouvoir offrir une éducation enrichissante à son enfant et cela coute cher. Donc les parents qui bossent pour ça ont quand même un objectif pour leur progéniture.


Maintenant, je suis d'accord, cette surconsommation n'est pas indispensable, en réduisant un peu le temps de travail des parents permettrait peut-être de faire les 2.
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