2 réponses
Bonjour,
La situation de votre fille me semble inquiétante. Essayez d'en savoir plus et si elle ne souhaite pas vous parler, demandez une consultation ensemble à la psychologue de son école ou d'un cabinet privé.
Courage !
La situation de votre fille me semble inquiétante. Essayez d'en savoir plus et si elle ne souhaite pas vous parler, demandez une consultation ensemble à la psychologue de son école ou d'un cabinet privé.
Courage !
Bonjour
Le cas de votre fille m'interpelle car je travaille avec des enfants en difficulté parmi lesquels je rencontre des enfants à haut potentiel, également en échec scolaire. La phobie scolaire se rencontre assez fréquemment chez les sujets à fortes potentialités intellectuelles. Pour savoir si votre fille est dans ce cas, je vous conseille de prendre avis auprès d'un psychologue qui pourrait tester à la fois son QI (facultés intellectuelles) ET sa personnalité, pour comprendre son fonctionnement (un QI seul ne sert pas à grand-chose). Cela l'aiderait à s'en sortir. Le fait d'être reconnue dans sa différence, de connaître ses forces et ses faiblesses, lui permettrait de composer avec elles et le système scolaire qui, assez fréquemment, a du mal à s'adapter aux différences (du fait d'un manque d'information et de formation des enseignants).
Vous pouvez me contacter si besoin.
Bonne continuation.
Le cas de votre fille m'interpelle car je travaille avec des enfants en difficulté parmi lesquels je rencontre des enfants à haut potentiel, également en échec scolaire. La phobie scolaire se rencontre assez fréquemment chez les sujets à fortes potentialités intellectuelles. Pour savoir si votre fille est dans ce cas, je vous conseille de prendre avis auprès d'un psychologue qui pourrait tester à la fois son QI (facultés intellectuelles) ET sa personnalité, pour comprendre son fonctionnement (un QI seul ne sert pas à grand-chose). Cela l'aiderait à s'en sortir. Le fait d'être reconnue dans sa différence, de connaître ses forces et ses faiblesses, lui permettrait de composer avec elles et le système scolaire qui, assez fréquemment, a du mal à s'adapter aux différences (du fait d'un manque d'information et de formation des enseignants).
Vous pouvez me contacter si besoin.
Bonne continuation.
bonjour, j'espère que vous avez pu consulter rapidement un centre de consultation médico psychologique, il y en a dans toutes les villes, en fonction des secteurs d'habitations, il est je pense urgent de faire un bilan psychologique complet. Votre fille souffre, elle est dans une période d'adolescence, il faut être attentif à ses manifestations d'angoisse. C'est une période charnière où toute la problématique de la petite enfance se rejoue, avec l'identité et les identifications, ainsi que les enjeux narcissiques et relationnelles. Il y a aussi toute la problématique du corps qui est enjeu en raison des changements corporelles. Si vous avez besion de conseils et d'orientation vous pouvez me contacter.
30 mars 2012 à 21:17
3 avril 2012 à 12:11
bon courage
14 avril 2012 à 09:09
14 avril 2012 à 22:27
La relation avec les profs au contraire est très dure. Cette année a très mal commencé. Elle a été mise dans une classe indisciplinée (dans certains cours, quand le prof d'histoire par exemple n'a pas un style particiipatif, elle a tendance à bavarder, elle se distrait facilment, mais sans pour autant perturber les autres). Une jeune prof d'espagnol, qui a pas mal de casseroles déjà et une attitude très méprisante envers ses élèves, pensait se faire respecter par la terreur et a pris 4 élèves au hasard, deux qui bavardaient et deux autres qui suivaient le cours, dont ma fille, les a expulsés du cours et donné comme punition pour le lendemain de recopier tout le règement scolaire (en français donc). Injuste, demesuré et pas pédagogique, bref un abus. Ma fille a omis le tout dernier paragraphe, lui a expliqué qu'elle a d'abord fait ses devoir et puis la punition jusqu'à 23h et qu'elle s'est endormie. avec son mépris caractéristique, elle lui a déchirée la feuille et rebelote pour le lendemain etc.
Je ne veux pas dire que les profs sont coupables de tout, leur métier devient assez difficile à cause de l'indiscipline. Mais dans une classe il faut savoir faire la distinction entre des élèves qui ont des profils très différents. Il ne sont pas conscients des ravages qu'il peuvent occasionner dans la psychologie d'enfants fragiles. Il y a beaucoup de repression dans les collèges, c'est trop tôt, ils sont trop jeuns
J'ai cherché un coach, mais j'en pas trouvé. Par contre, une amie psy m'a proposé de lui faire passer un test d'orientation très bien fait. Il se décompose en trois scéances (deux qui peuvent être faites ensemble: cela prend alors 4h). Elle en a fait les deux premières (orientation et personnalité) et elle en est ressortie ravie et motivée. Nous devons prendre RDV pour les résultats. Habitez-vous dans l'île de France? Je peux vous mettre en contact pour ce test. Ca a fait un déclic.
Je comprends ma fille, je me mets de son coté, mais c'est à elle de se prendre en main et de construire son futur; je tâche d ene pas abonder dans sa tendance de victimisation.
Modifié par Liliiiii le 20/11/2012 à 22:53
Je suis lycéenne et je ne vais plus au lycée. Je ne sais plus comment me sortir de ce cercle vicieux. Je m'ennuis profondément en cours et cela m'a rendu dépressive. Je voudrais une vraie stimulation intellectuelle qui me pousse au bord de mes capacités de réflexion, de logique et d'analyse mais le lycée ne rassasie en rien mon appétit de savoir ! Je suis désespérée, en échec scolaire, au bord de me faire virer, en rupture avec mes parents, je suis à bout... Je voudrais m'en sortir et tout le monde me dit que je dois tenir et avoir mon bac. Je sais que c'est le seul moyen de m'en sortir mais je n'ai pas la force. Je voudrais être directement en fac où je suis déjà quelques cours quand je ne vais pas au lycée et pendant mes vacances scolaires. Je vais également régulièrement à la bibliothèque universitaire pour parfaire mes connaissances et me cultiver mais ce n'est pas une solution ! J'essaye de trouver un moyen, j'ai déjà essayé d'appeler mon rectorat mais aucune solution n'existe pour mon cas. La seule chose qu'on me propose est de tenir. Mais je ne me sens pas capable de le faire... Pareil que votre fille, je voudrais aller en cours, m'en sortir, mais je ne peux pas ! Je suis tétanisée ! Je songe régulièrement au suicide car je ne vois aucune issue.
Merci pour vos réponses et d'avoir pris le temps de me lire