12 réponses
En avez vous parlé avec lui ? Avec son père ?
Votre fils aime le monde virtuel pour échapper à la réalité. Il en est conscient, c'est pour cela qu'il ment.
Il est probable qu'il se réfugie dans son jeu, parce qu'il ne se sentirait pas assez \"reconnu\" ou \"aimé\".
L'essentiel est de communiquer, d'observer, de savoir le pourquoi et d'agir. Ayez des moments privilégiés afin de découvrir les besoins de votre enfant. Il grandit, évolue et vit sa période d'adolescence où tout se bouscule !
Avez-vous essayé de le responsabiliser au sein de votre foyer ? Le faire participer aux tâches quotidiennes. Peut-être votre comportement sera aussi modifié.
A t-il des copains qui viennent chez vous ? Est-il timide ? Joue-t-il sur internet ?
Lorsque vous ne cèderez pas à ses caprices, expliquez-lui pourquoi.
Permettez-lui d'être utile et mis en valeur, il en a sans doute besoin auprès de ses parents, et ce ne sera pas du jeu !
J'ai déjà essayé beaucoup de choses, je vis seule avec mon fils, son papa très strict vit à 600 km de nous, il est donc souvent obligé de rester seul à la maison, nous avons aussi beaucoup voyagé, mais là j'ai décidé d'acheter une maison, il s'est fait des amis qui viennent à la maison. J'essaie de faire pour le mieux. Ce qui m'étonne le plus, c'est que c'est un enfant qui est loin d'être sot, mais s'est plus fort que lui, de toute façon d'une manière ou d'une autre, il se fait découvrir. Que faire ?
Votre fils vous \" teste \". Et cela marche, pour lui du moins !
Si vous lui demandez pourquoi il se comporte de telle façon avec vous, si le mensonge représente l'humiliation et un non-respect à votre égard, vous lui demandez ce que cela représente pour lui. Il pourra vous répondre, j'en suis sûre.
Vous aurez la clé de sa problématique (et de la vôtre). Enfin, vous pourrez construire quelque chose ensemble, basé sur le respect de l'autre.
La seule porte à ouvrir est celle de la communication orientée vers le constructif. Tout cela en harmonie.
Ce sera à vous d'adopter un autre comportement afin de fixer des règles, si vous voulez que cela change. C'est à vous de diriger et non à votre fils, tant qu'il est chez vous et sous votre responsabilité !
C'est super d'avoir un œil neuf et neutre, qui se pose sur vos problèmes, je ne vous connais pas mais je vous remercie beaucoup et je vais réagir comme vous me l'indiquez. Merci encore. Béatrice
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Je suis de tout cœur avec vous. La situation n'est pas simple, mais vous allez y arriver, et sans doute en très peu de temps. Je vous félicite pour votre ouverture d'esprit.
Discutez, écoutez, partager, se respecter... sera la réussite !
Tenez-moi au courant.
Bonjour, rassurez-vous, je connais cela mon fils de 14 ans essaye de noyer le poisson. Le tout est d'instaurer une relation de confiance avec un facteur temps, cela peut fonctionner un temps.
Pour faire face à une situation de conflit, l'ado se réfugie souvent dans le mensonge. Rien d'exceptionnel donc dans l'attitude du vôtre. Reste que vous ne devez pas \"lâcher le morceau\" et qu'il continue de vous respecter...
Il faut avoir une discussion avec lui, il est en phase de sa crise d'adolescent, c'est pas facile de gérer.
Moi aussi j'ai élevé mon fiston avec un papa à 800 km... Dès qu'il y avait conflit, j'ai eu la chance d'avoir au téléphone son père qui me soutenait à chaque fois, ce qui fait toute la différence. Il est certain que lorsque le couple parental est en accord, élever un enfant est bien plus simple. N'oubliez pas : n'ayez pas peur d'être le parent ! C'est vous qui menez la barque, et pas l'inverse, jamais ! L'enfant le sait. Continuez de le valoriser dans son \"rôle\" d'enfant, c'est-à-dire en lui parlant de vous, vos émotions, etc. Même si c'est difficile par moment, un jour, vous verrez combien cela aura été bénéfique. Bon courage.
... avec Marie-Dominique, ce sont exactement les mots que j'aurais voulus pour vous décrire l'adolescence et ses difficultés. Mais vous n'avez pas donné signe de vie depuis près d'un mois, qu'en est-il ?
La rentrée des classes s'est bien passée, pas de mot dans le cahier de correspondance, mais encore ce besoin de mentir, mais là c'est moins grave. Par contre, il continue à se croire victime de tout, et cela rend la vie à la maison difficile, car c'est moi qui prends. Il y a des moments où je suis à la limite de craquer nerveusement...
Là, il se calme... Dur, dur d'être parent.
