Bonjour,
J'ai après le cancer de mon père le 13 juillet 2000. Ce fut un choc. Pour moi, mon père était un roc. Rien ne pouvait lui arriver. Le 15 juillet, il rentrait à l'hopital. Le chirurgien nous avez prévenu : je retire si c'est retirable, sinon, et bien j'ouvre et je referme.
Malheureusement pour nous, le médecin a refermé sans rien retirer.
Mon père est décédé le 26 juin 2002. Il s'est battu 2 ans alors que les chirurgiens ne lui avaient donné que 6 mois. Il faut dire que mon père voulait profiter jusqu'au bout de ses enfants (il avait mes deux demi-petits frères de 9 ans), et de ses petits enfants dont 2 sont venus au monde pendant sa maladie. Nous l'avons soutenu, encoragé, entouré.
Le cancer s'est généralisé et il nous a quitté.
Le cancer du pancréas de mon papa était trop avancé lorsque nous l'avons découvert. Cependant, s'il est décelé à temps, et avec les progrès que la médecine a faits depuis 7 ans, je ne vois pas pourquoi la fin serait tragique.
Je vous souhaite bon courage.
Magali
Bonjour,
La description que vous faites de votre père, la dégradation de son état est celle que j'ai également connu il y a de cela 7 ans maintenant. Son cancer du pancréas a envahi son foie, puis ses poumons. La dernière journée n'a été que souffrance pour lui, comme pour nous. Nous avons été heureux lorsqu'il s'est éteint car il ne souffrait plus, même si nous avion perdu un père (un mari pour sa femme),
Mon papa a été inhummé le 1er juillet 2002. Nous gardons tous de lui une image forte d'un homme qui se voulait juste, luttant contre sa maladie...
Je vous présente toutes mes condoléances et vous souhaite bon courage.
Cordialement. Magali
quoi ajouter de plus à tous ces témoignages ? infirmiére ,je sais qu'un cancer du pancréas est l'un des plus terrible et rapide .Trés éprouvant pour le patient et sa famille .Je suppose que vous etes malheureusement dans cette situation ,et nous ne venons pas vous remonter le moral .
Je vous embrasse trés fort et bon courage .
Françoise.
