9 réponses
A la maison ,nous parlions beaucoup , nous avions des parents très compréhensifs avec eux rien n était tabou , nous étions très entourés , nos idées ,nos choix ,nous en parlions avec eux ,ils nous faisaient peser le pour et le contre ,nous leur faisions comprendre pourquoi notre choix était ainsi ,et ils essayaient de comprendre ,cela n a pas toujours été évident pour eux , mais ils ont été fier de nous donc pour dire que de bons souvenirs de mon adolescence j ai reproduis pareil avec mes deux fils et nous n avons que des satisfactions avec eux ,ils sont très proches de nous tout en ayant pris leur envol
ce matin dans télérama , une sélection de télérama france culture :
un roamn "tu verras" de Nicolas Fargues.
un père en deuil de son fils remt en question son éducation. dérangeant. (critique de télérama).
à 12 ans clément ne verras jamais ," comment le latin aide plus tard".
il ne pourra pas découvrir tout ce que son père à fait pour son bien;
clément est mort à 12 ans.
ça me donne envie de le lire, peut-être que vous aussi.
mon adolescence , j'avais 15 ans en 68, j'étais une fille dans une famille dont un nom patronymique voulait dire caste.
interdiction de mettre un pantalon, la mini-jupe, de lire autre chose que les livres choisis par ma mère, jamais été au cinéma avant 20 ans et avec ma mère. bref, mai 68 c'était pour moi. je posais beaucoup de questions qu'il ne fallait pas poser et il était clair qu'il fallait vite me marier.........
comme je ne connaissais pas d'autres milieux je ne m'en offusquais pas trop. je suis née après ma majorité.
J'ai eu une adolescence sans problème et très heureuse avec des parents compréhensifs? Naturellement il arrivait que nous ne soyons pas toujours d'accord (le contraire aurait été anormal) ou que nous ayons des points de vue très différents en raison sans doute de la différence d'âge et donc de génération. Pour moi cela s'est très bien passé et je garde de très bons souvenirs de cette période.
.
La vie était aussi plus facile pour les jeunes que maintenant, pas de problème pour trouver un emploi, pas de sida, pas d'univers agressif comme l'est le notre actuellement.
.
Je pense qu'il est beaucoup plus difficile d'être jeune actuellement que ce l'était il y a 40 ans.
Peut être devrions nous leur poser la question ,je ne suis pas certaine ,je vois lorsqu à la maison nous parlons de notre jeunesse ,nos fils la trouve un peu ringarde ,lorsqu on leur dit que nous avons attendu de travailler pour avoir une voiture cela les étonne c est sur maintenant tout juste le permis( payé par les parents )nous leur achetons une voiture ,ensuite nous n avions pas la liberté sexuelle comme eux ,bien souvent à15 ans les filles amènent leur premier copain à la maison et tout cela est normal ,alors je ne suis pas certaine que jeunes apprécierai plus nos années
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
très difficile... J'étais une adolescente très timide, réservée , J'étais toujours à l'affut "des moqueries des autres.... en plus, J'ai souffert de "t.o.c.s " ces troubles m'ont gâchés une partie de Mon adolescence , J'ai été suivie par un pédo-psychiatre (qui m'a énormément aidé) mais, malgré cela , Je n'étais pas heureuse .... pour Mes parents qui m'apportait tout leur amour, ce n'étais pas facile à gérer ..... Je pense que c'est une période difficile que ce soit pour une filles ou garçons , on n'est plus ou moins mal dans notre peau .... les parents doivent faire attention car à 15 ans on est vulnérable et on se laisse facilement entrainer par de mauvaises fréquentations etc...
amicalement
Nathalie
pas d'adolescence..j'étais en sanatorium.......j'espérai vivre mon adolescence à travers ma fille... elle l'a vécu sans moi................
je n'ai pas pu apprécier mon adolescence ni la vivre, et il m'en reste des séquelles dans ma vie actuelle, je devais faire face à un milieu familial difficile ou régnait constamment la peur , la crainte, ................., la page est tournée mais que de gachis............. j'ai l'impression que cela me poursuit dans ma construction d'adulte et qu'une adolescence bien vécue aide à forger un adulte
la question de vivre son adolescence ne se posait pas, tu fais ce que je dis et pas ce que tu veux, là était la règle avec une atmosphère de vie angoissante ou tu te dis je luttes ou je sombre, j'ai rencontré une personne formidable qui m'a aimé pour ce que je suis et avec mon entourage familial qui n'était pas top