3 réponses
Bonjour,
Garder à l'esprit que votre fille a besoin de votre amour et de votre soutien.
Vous en avez vous aussi besoin. Alors entraidez-vous .
Voici des sites internet qui peuvent vous orienter et vous aider à trouver des personnes dans le même cas que vous.
http://www.ffdys.com
http://www.dysphasie.org
En belgique : http://www.apead.be/fr/
Bon courage.
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Bon courage.
La dysphasie est un trouble central lié à la communication verbale. Elle peut cibler plus particulièrement l'expression (dysphasie expressive), la compréhension (dysphasie de réception) ou les deux à la fois (dysphasie mixte). Ce trouble a des répercussions de longue durée sur la communication du sujet atteint, puisqu'il s'agit d'un trouble structurel de l'apprentissage du langage, d'une anomalie du développement du langage.
Le mot dysphasie a été formé du préfixe dys signifiant: mauvais, erroné, difficile et du radical grec phasis signifiant: parole, langage. Étymologiquement, dysphasie veut dire "mauvais langage" et/ou "parole difficile".
On a employé par le passé le terme d' audimutité (terme québécois) pour désigner une mutité congénitale en l'absence de surdité. On emploie maintenant le terme dysphasie.
Au Québec, environ 3 % à 4 % des enfants d'âge préscolaire présenteraient cette pathologie tandis qu'une étude belge rapporte des taux de 5 % à 20 % pour les enfants d'âge préscolaire et primaire1. Deux dysphasiques sur trois sont des garçons. En France, le rapport Ringard2 avance le chiffre de 2 % des enfants scolarisés.
Sommaire
Le mot dysphasie a été formé du préfixe dys signifiant: mauvais, erroné, difficile et du radical grec phasis signifiant: parole, langage. Étymologiquement, dysphasie veut dire "mauvais langage" et/ou "parole difficile".
On a employé par le passé le terme d' audimutité (terme québécois) pour désigner une mutité congénitale en l'absence de surdité. On emploie maintenant le terme dysphasie.
Au Québec, environ 3 % à 4 % des enfants d'âge préscolaire présenteraient cette pathologie tandis qu'une étude belge rapporte des taux de 5 % à 20 % pour les enfants d'âge préscolaire et primaire1. Deux dysphasiques sur trois sont des garçons. En France, le rapport Ringard2 avance le chiffre de 2 % des enfants scolarisés.
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