Je suis perdu anéanti

Utilisateur anonyme - 10 févr. 2009 à 13:55
 Utilisateur anonyme - 13 févr. 2009 à 00:46
dans la meme journée j' ai appris la naissance de ma petite fille je devrais etre trés heureuse mais je ne peux pas car le meme jour le dianostic de ma niéce est tombé, elle est hospitatisée en soin palliatif, je sais que cela veux dire mais quand le médecin vient vous dire elle en a que pour quelques semaines voirquelques mois, le ciel vous tombe sur la tete d' autant plus que j' ai depuis deux mois un neveux dans la meme situation. je sais que la vie est ainsi faite un arrive un autre part mais la je suis totalement anéantis je les ai vu grandir ce marié avoir leurs enfants;je me suis occupé de ma niece pendant des mois la laver la porter dans mes bras quand elle était trop faible la sortir dans son fauteuil ts les jours l' amener chez le coiffeur, enfin ce qu' aurait fait sa maman si elle ns avez pas quitter trop tot.parler de mon ressenti avec mes enfants ou ces freres est soeur pas question je ne veux surtout pas en rajouter a leur propre douleur . alors je m' adresse a vs merci de m' avoir lu un coeur bléssé

8 réponses

Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 14:03
votre histoire est triste. cependant je suis surpris que vous donniez tant de détails. Peut-être que vous voulez conjurer le sort en vous exprimant de la sotre et en laissant sortir tout ce que vous avez sur le coeur. C'est triste cependant de vivre tant d'évènements à la fois. loi de séries quand tu nous tiens ! C-A M
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Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 14:08
j'ai lu votre message, et sincèrement je suis de tout coeur avec vous.je sais cela ne va pas vous soulager, mais sachez que quelque part quelqu'un pense à vous.Conseil inutique et ridicule.....pensez au petit qui viens de naître.courage
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Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 14:14
si je pouvais conjurer le sort, ce serait merveilleux , si pouvais leur donner que du bonheur mais je suis plutot réaliste la loi des série oui peut etre mais j' espere que vous avez trop car on dit jamais deux sans trois;
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Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 14:14
Bonjour Odette, En lisant votreappel au secours, j'ai pleuré. J'ai vécu la même histoire que vous. J'ai eu deux petits-fils en janvier 2008 et le second en mars 2009. En même temps j'apprenais que ma soeur âgée de 54 ans, je dirais ma petite soeur, c'est ainsi que je la nommais, était condamnée. Elle vivait à Pau, moi en Lorraine. Nous ne nous voyions que deux ou une fois l'an depuis 1970. Il a fallu que je descende l'aider à Pau début décembre 2008 jusqu'à son décès le 30 décembre. Nous n'avons vécu que quelques semaines ensemble, mais ces semaines là ont ratrappé le temps perdu; 3 semaines intenses ont égalé les 38 années qui nous ont séparées. Nous nous sommes raconté notre jeunesse, nos histoires gaies, les moins gaies; je l'ai serrée dans mes bras comme jamais je ne l'avais fait, je l'ai lavée, soutenue, levée pour la mettre dans un fauteuil, je lui ai cuisiné ce qu'elle avait envie, tout cela avec l'aide de nos frères et soeurs (nous sommes sept) à nous relayer chacun à son chevet...... Je garde de Josiane son merveilleux sourire, ses blagues de la dernière minute .... elle nous a fait rire, elle nous regardait sans parler, mais son regard en disait énormément.... elle me manque terrriblement, comme si nous ne nous soyions jamais quittées auparavant.... Je la remercie de tout ce qu'elle m'a apporté : la dignité, le sourire, le partage, la volonté de fer, et surtout, elle ne se plaignait jamais, tout en se sachant condamnée. Pour elle, je dois tenir le coup, penser à ma famille, à mes enfants, petits-enfants. Josiane n'aurait pas voulu que je me renferme dans le chagrin. Elle a rejoint notre Maman, partie au même âge. Elles sont heureuses là-bas. Odette, il faut tenir le coup, pour vous, votre famille et votre nièce. Il y a un ailleurs qui leur sourit; plus tard, si vous le souahitez, je vous écrirai à ce sujet, sur cet ailleurs, que Josiane, ma petite soeur, m'a fait connaître. Permettez que je vous embrasse. Monique
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Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 14:25
Bonjour, Votre témoignage m'a touchée, car je pense un peu connaître ce que vous ressentez. Que vous dire, sinon que de continuer à donner votre amour, à donner sans compter à votre nièce, pour pouvoir, au moment venu la laisser partir en paix. Il faut donner tout ce que vous avez à lui donner, pour ne pas connaître le regret, et d'un autre côté, accepter ce cadeau qu'est la naissance de votre petite fille. Il vous faut bien sûr vivre votre souffrance, mais il ne faut pas que cette souffrance vous ferme les yeux sur les moments de bonheur qu'il ne faut pas rater. Je ne suis pas du tout d'accord avec ces idées : un arrive, un s'en va, ou la loi des séries... la vie est ainsi faite, il y a des questions sans réponses, chacun commence une vie nouvelle dans des endroits différents, certains vivent ici, d'autres, ailleurs... La seule chose que je peut vous dire, c'est "aimez", aimez les chacun sans retenu et sans condition. Bon courage, amicalement.
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Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 14:55
Odette , tout comme la joie , la douleur fait parti de notre vie , c'est très dur parfois ! je vous souhaite beucoup de force et de courage ! je vous embrasse !
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Utilisateur anonyme
10 févr. 2009 à 18:52
courage pensez qu il y a d autres personnes dans ces cas difficil j sais q c pas facile car moi aussi j connais 1 gros problem familliale de santee avec mon mari et j me bat aussi tous les jours pour continuer et j ai moi aussi des l impression q j y arriverais pas nous faisons le maximum profitonde tous les petits moments d bonheur que l ont peu donner
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Utilisateur anonyme
13 févr. 2009 à 00:46
Votre histoire me touche, vous êtes une personne trés forte, courageuse, pleine d'amour, tant à donner, mais ne soyez pas aussi dûre avec vous même, pourquoi vous infliger la loi du silence vers vos proches,vous avez le droit de craquer, vous n'êtes pas un robot vous avez avant tout un coeur et un gros coeur qui a aussi bien le droit d'être joyeux et surtout aussi bien le droit de pleurer, de crier, de parler,, lâchez-vous, lâchez cette souffrance cela feras énormément de bien, cette peur en vous qui ne veut pas faire de la peine, car vous êtes la racine (du baobab), la force de votre famille et une racine telle que celle du baobab ne feras jamais tomber son tronc (votre famille), par contre elle a le droit d'avoir des plaies et pour les soigner ils faut les ouvrir, mais le tronc ne tombera jamais, alors allez-y foncer vous êtes forte soignez vos plaies. Que dieu vous benisse et vous protège vous et votre famille.
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