Comment s'est passée l'adolescence de vos enfants ?

Résolu
Utilisateur anonyme - 21 févr. 2011 à 21:52
 Utilisateur anonyme - 27 mars 2011 à 18:03
Se sont ils opposés à vous, si oui, l'avez-vous bien vécu ? Quelle appréciation ont ils eue sur votre comportement ?
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15 réponses

Utilisateur anonyme
24 févr. 2011 à 12:21
Comme beaucoup d'ados, aujourd'hui ils ont conscience qu'ils ne sont pas les objets de leurs parents et le font sentir au travers de souffrances ,déjà présente à cet age, c'est l'évolution, l'adolescence est plus longue leur apprentissage aussi,Il est préférable qu'ils fasse leur crise à cet age là et non à retadement car ont est là pour eux. question de caractère qu'ils revendique , leur autaunomie , leur liberté, ils veulent nous en mettre plein la vue , normal pour un ado qui veut se construire, pour cela ils sont même prêt à mentir , se faire remarquer pour attirer l'attention , en fait pour exister. Photo jointe pour illuster le genre!

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Utilisateur anonyme
22 févr. 2011 à 17:34
ma fille aeu 2 années difficiles ai dû me faire aider car seule et je travaillais; j'ai toujours eté là et tout est rentré dans l'ordre ......je l'ai mal vécu à l'époque car culpabilisée par son pére a 650kms.....qui lui n'a rien fait...
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 09:52
J'ai un garçon et une fille, qui ont aujourd'hui 39 et 33 ans. Il n'y a pas eu de conflits avec eux pendant leur adolescence. J'ai fait le choix de mettre ma vie professionnelle "entre parenthèses" pour m'occuper ou plutôt accompagner mes enfants dans leur devenir. Il n'y avait pas de téléviseur à la maison et les conversations avec eux, sur tous les sujets, étaient nombreux. Je pense qu'aujourd'hui ils sont des adultes heureux. Ils me disent qu'ils ont été des enfants sages et que j'ai eu de la chance !
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 11:55
3 filles à la maison ! qui sont nées : le 30 aout 1974 , le 18 janvier 1976 et le 3 mai 1978....Peu d'interdits....des conseils plutôt....et du dialogue à gogo nuits et jours......des heurts, des oppositions forçément ! Pas de répression.....Ma présence et mon aide en toutes circonstances....Usant et fatiguant....mais tellement enrichissant ! et surtout : confiance réciproque et Amour partagé. Elles ne m'ont jamais considérée comme une "ennemie" à cette époque là , mais plutôt comme leur "garde-fou".
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 13:45
J ai deux fils de 32 et 29 ans pas de conflit avec eux ,beaucoup de discussion ,beaucoup d écoute de notre part ,aucun sujet tabou ils pouvaient nous parler de tout ,je me souviens que mes fils m ont parlé de leur premier baiser il est sur que pour une maman cela fait bizarre ,il y avait des secrets à ne pas dire à papa ,ce qui a été fait ,par contre des secrets à ne pas dire à maman ce qui a été fait aussi et c est comme cela que nous avons gagné leur confiance et que leur adolescence c est bien passée malgré mon travail je me suis toujours arrangée pour être la dans les passages important de leur vie et la ou je suis fière et que je me dis que nous avons réussi avec eux c est lorsque je les entends raconter leur enfance et adolescence heureuses à leur compagne
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 14:29
mon fils, 21 ans, ne m'a jamais posé de problème même à l'adolescence. Je l'ai élevé seule de nombreuses années et j'ai été très attentive mais très stricte. Je lui ai laissé également beaucoup d'autonomie, très jeune. Encore maintenant, il me raconte tout de sa vie sans que je ne pose aucune question ! Je suis à l'écoute comme je l'ai toujours été et c'est ce qui a fait notre équilibre. Ce qui l'a toujours encouragé à rester dans le rang est une parole toute simple, souvent répétée : je t'aime... quoique tu puisses dire ou faire, je continuerai à t'aimer... même si je dois punir, sévir ou crier.
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 15:53
Pour la fille, la chrysalide devenant progressivement papillon passait un temps considérable devant le miroir, et testait son pouvoir de séduction. Pour le garçon, une languissante inactivité qui s' appuyait sur une vague philosophie nihiliste. Dans l' ensemble cela s' est bien passé et pour eux et pour nous (constat fait beaucoup plus tard par les deux parties).
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 16:34
Vous avez une sacrée chance ! Moi, j'ai vécu l'enfer...
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 16:53
j'ai été *et je suis -une maman aimante et présente .j'ai deux fils .je pense avoir fait preuve d'écoute .peut être un peu trop vigilante ,je ne sais pas .Des conflits ,non !car une grande complicité et beaucoup d'amour .
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 17:32
Mais j'ai fini par être récompensée d'avoir tenu bon.
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Utilisateur anonyme
23 févr. 2011 à 18:24
Très bien ! Beaucoup d'amour, de complicité, d'écoute, d'échange... Enfin, bien, vraiment. Et ça continue encore aujourd'hui...
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Utilisateur anonyme
24 févr. 2011 à 13:20
La plupart des internautes qui ont répondu ont des enfants dont l'âge se situe dans la trentaine, comme mes deux filles. C'était encore la bonne époque. En effet, même si nos enfants n'ont manqué de rien matériellement, ils ont surtout eu notre amour, notre présence et notre vigilance (même avec mes 42 ans de travail derrière moi). Or, à l'heure actuelle, non seulement les difficultés économiques et professionnelles perdurent, rendant moins disponibles les parents sur tous les plans, mais ces difficultés sont aggravées par l'ère de l'enfant-roi à qui tout est dû et tout est permis. Grave erreur, car c'est bien dans la petite enfance que se préparent la pré-adolescence et l'adolescence des enfants, avec forcément quelques frictions - il faut bien que leur personnalité s'affirme, que leur esprit critique se développe, que leur réflexion s'affine. Qui aime "bien", châtie "bien" : cela n'implique pas la terrreur et les coups, mais la QUALITE, car on peut aimer beaucoup mais MAL, comme on peut sévir, mais pas de la bonne façon non plus. Le risque encouru pour ces futurs adultes qui manqueront de repères, de valeurs, de résistance psychologique etc... est de rester des adulescents (nouveau terme en psychologie), c'est à dire des adultes-adolescents en nombre croissant, comme il y avait autrefois quelques femmes-enfants ou quelques hommes immatures. Quel avenir pour eux et leur descendance, si le schéma se répète ? Mais la cohorte de psy en tous genres se fait déjà un devoir bien rémunéré d'essayer dee les recadrer. Que de temps perdu et d'atgent aussi pour les parents et les enfants concernés.
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Utilisateur anonyme
25 févr. 2011 à 00:47
oui marie claude c'est difficile pour les ados, cela a toujours été difficile et ne s'arrange pas. entre les suicides évidents, les suicides cachés-lents, les tentatives de, les dépressions, les symptômes psy de fragilité je crois que les ados disent leur désespoir. préoccupés par temps de choses : boulot, logement, maladies, il leur est difficile de rêver d'une vie sentimentale ou autres choses.
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Utilisateur anonyme
3 mars 2011 à 23:01
La vie n'est pas un long fleuve tranquille, c'est pourqoi il-y-a des questions - pour se remettre en question même si ont a rien fait d'anormal" donc les trop satisfaitS devraient faire "tilt dans leur tête " avant de se croire parfaits, y-a pas d'autosatisfaction à ce que les enfants cachent leur frustraction , face à l'auroritarisme implicite des parents ! je préfère une crise d'odos que l'hypocrisie qui risquerait d'étouffer un gosse pour toujours ! VIVE LES SALES GOSSES !

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Utilisateur anonyme
27 mars 2011 à 18:03
mes enfant n'ont eu aucun souci .
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